LE GAMEPLAY :

L’objectif du Monopoly est de mener ses adversaires à la banqueroute en leur faisant payer les loyers de vos maisons et immeubles. Pour cela, vous pouvez acheter différents terrains nus symbolisés par différentes couleurs et/ou gares. Plus les terrains sont vers la fin du parcours, plus ils coûtent chers mais plus ils peuvent rapporter car vous pourrez demander un loyer plus élevé si vos adversaires tombent sur vos terrains.

Lorsque vous possédez tous les terrains nus d’une même couleur après avoir eu la chance de tomber dessus ou bien de les avoir achetés ou échangés à vos adversaires, vous pourrez construire dessus une, puis 2,3,4 maisons et enfin un hôtel. Plus vous augmentez le nombre de bâtiments sur vos terrains, plus cela coûtera cher à vos adversaires s’ils s’arrêtent chez vous. Tout cela dépendra du bon vouloir des dés.

Bien sûr Monopoly n’est pas limité à cela. Les cases cartes “chance” et “communauté” font parties du jeu et permettent en début de partie de gagner ou perdre de l’argent à court ou moyen terme en fonction de vos investissements. Et n’oublions pas la fameuse case prison du Monopoly qu’on redoute tous en début de partie mais qu’on adore lorsqu’il y a des maisons et des hôtels partout car on peut toujours y percevoir les revenus si des adversaires tombent chez nous.

L’UNIVERS DU JEU :

Le Monopoly nous envoie dans un monde ultra-capitaliste et plus particulièrement dans le monde de l’immobilier. En fonction de son pays et de sa ville, le Monopoly y a été décliné. En France, il a été décliné en différentes version dont une juste pour Paris avec ses rues.

Les cartes “Communauté” et “Chance” sont simples et sans aucune création artistique. Pour les pions joueurs, on a différents éléments en métal comme le chien, le fer à repasser… et tous ceux qui ont joué au Monopoly dans leur enfance se souviendront de ses pions en métal. Pour les maisons, elles sont faites de plastiques, de couleur vertes et petites et pour les hôtels de plastiques rouges ou dorés en fonction des monopoly et sont plus grands que les maisons. Les billets de banque du Monopoly se rapprochent des vieux billets qu’on pouvait trouver il y a 20 ans en France. Et dans certaines versions du Monopoly, les billets disparaissent laissant la place à la carte bleue! Plus besoin de faire du calcul mental, tout est automatisé (on aime ou on aime pas).

STRATÉGIE :

Au Monopoly, il n’y a quasiment aucune stratégie à l’exception de savoir si au début on s’axe plus sur les gares, les terrains les moins chers, les plus chers ou entre les deux. Puis en fonction de cette ligne directrice, on va ajuster nos achats, nos reventes et nos échanges. Rien de plus!

HASARD :

Le hasard est omniprésent au Monopoly : chaque lancé de dés et chaque cartes que vous allez tirer (“Chance” et “Communauté”) impliquera le hasard.

PRISE EN MAIN :

Le Monopoly est assez simple à comprendre et à expliquer à un enfant. Et s’il a pas compris, il suffit de lui expliquer en cours de partie, résultat c’est facilement compréhensible et très rapidement jouable. C’est entre autre ce facteur qui a fait de ce jeu un succès mondial car les parents et enfants y ont joué ensemble.

DURÉE DE VIE :

C’est un jeu qui pour les adultes seraient rapidement lassant car peu d’actions possibles en attendant son tour. Peux de chose à faire pendant son tour, quasiment aucune stratégie mais pourtant de part le fait que ce jeu soit un “classique”, on peut apprécier le faire découvrir à des enfants, à ses enfants qui eux auront grand plaisir à y jouer.

 CONCLUSION :

Si le Monopoly était sorti durant les années 2000, il ne serait probablement pas aussi connu qu’il ne l’est aujourd’hui, voire il ne serait jamais sorti tel qu’il est actuellement. Les jeux d’aujourd’hui n’ont rien à lui envier.

Ce jeu perdurera probablement encore longtemps du à la nostalgie des adultes envers ce jeu et toutes les déclinaisons du Monopoly qu’il y a eu entre temps, ce qui “renouvelle” l’image du jeu auprès des différentes cibles et intérêts.